Fin février, le premier ministre François Legault confirmait son intention de modifier l’âge légal de consommation du cannabis au Québec de 18 à 21 ans. Une décision qui faisait beaucoup de bruit, notamment avec la maire de Montréal, Valérie Plante.
La motivation première derrière un tel changement était l’exposition des enfants et des jeunes. Legault affirmait avoir vu les effets « destructeurs » que pouvait avoir le cannabis sur des individus en développement, et insistait que « la jeunesse âgée de moins de 25 ans ne devrait pas consommer de cannabis ».
Étant donné que le pays a légalisé les biens comestibles, le 17 octobre 2019 dernier, cela soulève des nouveaux pans de lois. Legault se dit ouvert à la consommation de ces produits en public, essentiellement parce que les comestibles ne rejettent pas la fumée que rejette le cannabis lorsque inhalé.
Un des aspects de la loi qui dérange, lorsque appliqué à Montréal particulièrement, est celui qui concerne la consommation du cannabis au Québec dans les appartements loués. Valérie Plante soulève le fait que plus de 60 % des habitants de la métropole sont locataires, et qu’ajouter la restriction de consommation publique à ces chiffres ne laisse que très peu d’endroits aux Montréalais pour consommer leur cannabis.
Le président de l’UMQ (Union des municipalités du Québec) et la Fédération québécoise des municipalités ont appuyé la déclaration, insistant sur le fait qu’un tel projet de loi ne peut être universel et se doit d’être adapté à chaque municipalité. Cependant, si Legault se dit « inflexible » quant au changement de l’âge légal pour la consommation, il dit aussi avoir « entendu le message » de Valérie Plante.
Il semble résider une sorte de flou autour du projet de loi, et Lionel Carmant est au centre de l’attention quand il s’agit de certaines fermetures d’esprit. Il a été surpris, selon la Montreal Gazette, en train de dire des choses opposées et il lui est reproché d’être assez fermé lorsqu’il s’agirait de débattre des aspects de la loi avec ceux qui ne partagent pas les idées du CAQ.
Si l’autorisation de consommer des biens comestibles semble être en lice pour remplacer la consommation fumable dans les lieux publics, les autorités de santé soulèvent le fait que les premiers ne sont pas sans risques, et un pic de consommation est prévu de survenir suite à la légalisation des comestibles – dont les effets sont bien plus intenses que ceux offerts par les produits déjà légaux.
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