Le projet de loi qui aurait pu être présenté début avril 2019 par le sénateur Steve Dickerson de Nashville, n’a cependant pas obtenu le soutien nécessaire, renvoyant la proposition à l’année prochaine. Si le cannabidiol (ou CBD) et autres produits dérivés du chanvre sont déjà autorisés au Tennessee, cette loi aurait permis aux habitants de se procurer du cannabis médical, révèle le Tennessean.
Si la loi avait été votée, une commission spéciale, du nom de « Agriculture Medecine Commission » (AMC), aurait été mise en place afin de superviser les opérations, dont tous les membres auraient été désignés par une figure politique. Aucune taxe additionnelle n’aurait été mise en place, faisant ainsi rentrer l’argent généré par les ventes de cannabis dans les caisses de l’État, qui l’aurait ensuite redistribué en partie dans l’AMC.
Les stylos-vapeur et biens comestibles auraient été autorisés, sans cependant autoriser la consommation de « joints ». Parmi les autres formes d’ingestion autorisées, il y aurait eu les capsules, les sprays nasals, les suppositoires, les timbres transdermiques, les crèmes et onguents, les huiles et autres liquides. Les débuts de ventes auraient eu lieu dès l’été 2020, autorisant pas moins de 75 entreprises de cannabis, incluant plusieurs dispensaires qui auraient été dispersés à travers le territoire, d’obtenir des licences.
Comme pour les autres États ayant légalisé le cannabis, certaines municipalités auraient pu interdire l’implantation de dispensaires. Ces derniers n’auraient pas pu être près d’écoles ou d’autres endroits publics fréquentés par les enfants, comme les piscines, les parcs, ou les aires de jeux. Néanmoins, les enfants auraient pu, utiliser du cannabis médical pour répondre à certains maux, avec l’autorisation d’un représentant légal.
Un système de cartes individuelles aurait été mis en place, qui aurait coûté aux alentours de 35 $. Les forces de l’ordre auraient utilisé un système informatique répertoriant les patients autorisés, afin de transporter leur traitement sans craintes.
Comme pour beaucoup, un des arguments pour décriminaliser le cannabis médical est celui qui concerne le soulagement des patients aux maladies complexes. Un diagnostic médical aurait permis aux patients de se procurer une carte de cannabis médical pour des maladies comme :
L’avortement du projet de loi n’a pas découragé le sénateur Dickerson, qui a annoncé vouloir réessayer en 2020, sous des conditions différentes. Mais ce n’est pas encore gagné ; en effet, pour être mise en place, le projet devra être validé par le gouverneur Bill Lee; qui a très publiquement déclaré être opposé au cannabis médical avant même d’être élu.
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